Atelier l'Air de Rien

1998 – Épaves et fragments


Warning: preg_match(): Compilation failed: invalid range in character class at offset 34 in /home/clients/652b82fcac283258225da2fe871e2b38/web/site/wp-content/plugins/nextgen-gallery/products/photocrati_nextgen/modules/nextgen_basic_tagcloud/package.module.nextgen_basic_tagcloud.php on line 183

Epaves et fragments

1998 – Barbara Biaggio

Après la série résurgences lointaines, l’envie du métal est apparue d’elle-même. Créer une série à même cette matière et laisser venir une histoire, celle d’un voyage au fond de l’eau et la rencontre d’une épave de bateau. D’abord, le besoin impétueux de connaître ce qui s’était passé s’est présenté, puis le lâcher-prise et l’émerveillement d’une telle rencontre a pu prendre place pour remonter enfin à la surface en goûtant la beauté environnante. L’exposition s’est présentée comme un livre avec une première page qui initie le lecteur-spectateur à cette plongée sous-marine et enfin une dernière page qui clôt le voyage.

Articles de Presse

24HeuresEntre poli et plissé
Raphaëlle Renken

Papier de soie enduit de colle? Coulures d’encre? Barbara Biaggio tait ses techniques se contentant de présenter deux séries distinctes de tableaux: une mêlant sable et peinture, l’autre métal et papier (comme le détail ci-dessous). La première est légère par ses couleurs vives, la seconde par contre plus sobre et intériorisée. Si la plaque de métal reste support, elle n’est en revanche pas passive. Le papier la revêt ou la dévoile par intermittence lorsqu’il se déchire ou se troue. Les antonymies sont multiples: autant le métal lisse et froid semble rigide, autant le papier fragile est cambré par les fines pliures. Plaisir du papier plissé, lissé ou superposé. Les couleurs le mouchettent ou, sous forme de coulures rouges, y tracent des artères.

Le TempsPeintures archéologiques
(Semaine du 5 au 11 juin 1999) – PhM

BARBARA BIAGGIO – Pour cette jeune artiste d’origine italienne née à Pully en 1968, le plaisir de la matière et le jeu des couleurs sont essentiels et se prêtent à des apparitions à la fois personnelles et collectives. Ses collages sur plaques de métal et ses peintures matiéristes ressemblent à des parchemins anciens, sont comme des relevés de tracés géométriques. Mais rien n’est figé, car quelques bribes d’écritures y apportent la spontanéité voulue.

Laissez-moi une réponse

Si vous désirez qu'une image vous représente avec votre commentaire, vous pouvez l'obtenir avec gravatar!

Atelier l'Air de Rien